La Fanfrale c’est la fanfare de l’Ecole Centrale de Nantes, et là, ça tombe bien, ils jouaient en plein centre de Nantes. ^^
On reconnaitra Sous l’océan : le classique de Disney, et avec une jolie pêche et une bonne humeur communicative !
La Fanfrale c’est la fanfare de l’Ecole Centrale de Nantes, et là, ça tombe bien, ils jouaient en plein centre de Nantes. ^^
On reconnaitra Sous l’océan : le classique de Disney, et avec une jolie pêche et une bonne humeur communicative !
En 1975, mes parents ont passé trois semaines de vacances en Bretagne, en plein mois d’août, pour la première fois de leur vie. Trois semaines à Pouldreuzic, dans le Finistère, la ville natale du célère manufacturier de pâté : Jean Hénaff. Trois semaines de flotte !! Mais genre non-stop !! Cela a développé en eux une haine assez viscérale de la Bretagne, et il ont alors juré de ne plus jamais y remettre les pieds.
Mais voilà, ce jeune couple de 25 ans, avec un enfant en bas-âge, devait bien occuper ses journées pluvieuses. Alors ils décidèrent de procréer de nouveau, pour tuer le temps, entre deux tartines de pâté, et le biberon du petit dernier. Et c’est ainsi que je naquis neuf mois plus tard à Pontoise dans le Val d’Oise. Et toute ma vie, je serai attiré par la Bretagne et les bretons !!! Hasard ? Bien sûr que non, c’était le destin, tel le saumon qui retourne au lieu de sa conception ! ^^
Mes parents ont une anecdote sur ces vacances que j’ai entendu mille fois. Il y avait dans le village un café tenu par deux vieilles bretonnes bigoudènes qui portaient la coiffe traditionnelle. Vous savez genre Tipiak-Pirates quoi ! Et mes parents demandèrent un jour s’ils pouvaient avoir des sandwichs pour aller se promener (entre deux averses).
– Des quoi ?? Des sanduiches ? Des sandouiches ? Sandouitches ? Kécésséça ?
– Vous savez du jambon et du beurre et deux tranches de pain ?
– Aaaaaah, vous voulez des casse-croûtes ?? Bien sûr qu’on peut vous faire des casse-croûtes.
Et apparemment, ces casse-croûtes étaient vraiment fameux, tant d’ailleurs qu’ils en parlent encore.
On parle tout le temps de sandwichs, et je me rappelle qu’en effet le mot « casse-croûte » était beaucoup plus commun et usité quand j’étais gamin. Et j’adore ce mot composé, je le trouve super beau et drôle, et tout en relief avec son petit accent argotique.
Je milite dorénavant pour le retour du casse-croûte !!!
Mon premier nomade moderne, littéralement, c’était Gustav1 ! Je l’ai découvert il y a une dizaine d’années avec un blog qui s’appelait justement The Modern Nomad. Ce qui avait commencé par une geekerie de plus, m’avait fait débarquer sur son site où il explicitait avec moult détails son existence et sa subsistance de nomade d’aujourd’hui (d’hier plutôt). Tout cela est encore en ligne et donc largement consultable, même si ça commence à prendre sérieusement la poussière.
Ses expériences m’avaient vraiment impressionné, et je l’avais suivi avec intérêt et attention. Mais je dois reconnaître que j’avais vite remarqué qu’il était gay, et terriblement sexy et kinky, et OUI ça m’avait convaincu de le suivre d’un peu plus près. OUI OUI OUI, guilty as charged!!! Il est aujourd’hui un peu plus sédentaire mais a toujours, j’ai l’impression, cette chouette philosophie d’une vie de globe-trotter avec des amis dans le monde entier, et des pans de vie qui passent d’un continent à un autre.
Je le suis principalement sur Instagram où ses jolies tenues en cuir affriolantes sont un plaisir non dissimulé pour les yeux. Et au-delà de mes remarques de pervers cacochyme, c’est vraiment un mec très sympa et adorable. ^^
Mais il y a quelques années, c’est un autre nomade que j’ai commencé à suivre. A la base c’était juste un type écossais sur son vélo qui traversait l’Europe. Classique périple d’un mec qui veut voyager au rythme de ses coups de pédales, un peu détaché des commodités du monde, en solitaire, et baguenaudant au fil de ses rencontres inopinées. Mais voilà qu’il rencontre Nala entre la Bosnie et le Monténégro, et depuis c’est Dean et Nala !
Leur rencontre était donc vraiment touchante, et j’ai suivi ensuite le périple avec ce petit bout de félin qui s’est très bien fait à la situation. C’est tout mignon de voir à quel point elle est devenu un compagnon essentiel pour ce grand bonhomme. Il s’est mis à faire des efforts et adapter tout son mode de vie pour elle, et pour lui faciliter les choses. Evidemment c’est devenu un succès de réseaux sociaux puis médiatique, et sur son site on peut acheter des produits dérivés et tout pour payer les croquettes et le véto. ^^
Dean et Nala continuent leurs aventures nomades en vélo à travers le monde. Voilà vous avez le droit de verser votre larmichette devant cette belle anecdote, alors qu’on se fait chier au taf toute notre vie. ^^
Après deux fois au Casino de Paris, on a cette fois vu le show de cette dernière saison à Nantes, au Zénith. Clairement, ils ont rempli la salle, mais ce n’est pas la meilleure idée pour un spectacle où on veut engager une certaine proximité. Comme j’avais la chance d’être proche de la scène, c’était parfait, mais on n’a vraiment pas eu la même impression de fête, de chaleur et d’intimité que les autres fois. Pour ceux qui étaient tout au fond, je pense que ça n’a pas dû être une expérience tip top.
Les autres fois, j’avais trouvé dommage justement de ne pas avoir de retour vidéo, et de moins profiter des lipsynchs lorsqu’on est trop loin pour voir les lèvres mimer les paroles. Là j’étais drôlement content de bien profiter des numéros de chacune, mais encore une fois pour ceux aux derniers rangs, ça ne devait pas être cool.
Mais malgré ça, il y avait tout de même une très bonne ambiance et les gens se sont levés plein de fois, ont applaudi à tout rompre, et ont bien célébré leurs queens.




Ces shows sont normalement l’occasion de voir ses drags préférées de la saison qui vient d’être diffusée, et les numéros se terminent plutôt par celles qui sont restées le plus longtemps, et souvent les plus douées et aimées du public, donc l’atmosphère de charge en électricité, et ça finit en apothéose. Mais là c’était un peu différent des autres fois, même si la forme du spectacle est exactement la même.
D’ailleurs cela fait partie des choses qui devront sans doute évoluer pour ne pas lasser le public. On a vraiment un peu toujours la même chose : un défilé en groupe, un numéro solo par queen, Nicky Doll qui les interroge à la fin de leurs performances, et on finit par le groupe qui fait un tableau final. C’est exactement ce qui s’est passé hier soir.
Mais ce n’était pas lassant, car c’était exécuté à la perfection, et avec un rythme soutenu, des thèmes sympas, ainsi que les vidéos d’accompagnement, les effets lumineux et les costumes (assez dingues). En revanche, toujours le même problème pour les bandes-son qui sont absolument pourries, et horriblement restituées dans la salle.
Une des problématiques aussi, pour moi en tout cas, de cette saison c’est qu’elle manque de drags très bonnes ou très charismatiques, de vraies héroïnes que l’on attend de pied ferme. Là c’était un groupe sympathique, mais on ne peut pas dire que ce sont des performeuses hors normes, ou bien que la gagnante a toutes les qualités. Mais plutôt qu’un spectacle décevant, c’est en réalisant un show très bien produit, et en remettant sur le devant de la scène la meneuse de revue qu’ils s’en sont sortis.
Et grâce à Nicky Doll, c’est une grande réussite. Contre toute attente, c’est elle qui remporte tous les suffrages. Elle présente des looks et des robes vraiment au-dessus du lot, et très au-dessus des shows précédents, mais surtout son texte était super bien écrit, avec de bonnes blagues très à propos. Et comme elle est maintenant très pro et à l’aise dans son rôle, on la sent totalement en maîtrise, et ce qu’elle ajoute en improvisation ajoute un piment très sympa, et donne l’impression au public d’un spectacle unique.








J’ai beaucoup aimé la thématique « Elle était une fois… » qui joue donc sur les contes de fées et l’imagerie Disney sans scrupule (quoi de plus gay que Disney ?). Les vidéos qui sont en fond des performances sont excellentes également, tant sur l’animation, le design que la direction artistique, et les danseurs et danseuses ajoutent des éléments chorégraphiques de très bon niveau. Cela donne des numéros très impressionnants, et souvent assez drôles avec cette thématique surréaliste.
Ce qui était très bien vu c’est que les drags forment dès le début un groupe analogue aux Muses du Hercule de Disney. On retrouve des formes et corpulences différentes mais avec cette même direction artistique et des costumes roses similaires. Cela fonctionne super bien !! Et le génial Matthieu Saghezchi a réalisé toute une imagerie qui rappelle terriblement tout cela.

Afrodite Amour ouvre le bal (elle est partie la première de la saison), et j’ai bien aimé sa performance. Ce n’est pas facile de démarrer un show, et elle a servi tout cela avec beaucoup de talent et de peps.







Misty Phénix a pris la suite avec un medley de Lady Gaga super efficace et très impressionnant. Là on est dans un niveau de performance à la Las Vegas qui le fait carrément, et évidemment avec des tubes pop comme cela, toute la salle était debout à chanter.






Ensuite, c’était le tour d’Edéha Noire. Son show était à son image, et pas complètement ma tasse de thé, car ça se veut indépendant, arty et à contre-courant alors qu’en réalité c’est assez plat et attendu…




Leona Winters était la seule à chanter en live, et ce n’était pas vocalement incroyable… Malgré tout c’est une bonne interprète et drag, mais elle manque juste de charisme selon moi.





Perseo a fait sa démonstration habituelle, et tout en jeté de gambettes et en plumes dans les fesses. C’est diablement efficace et il faut reconnaître un super athlète qui a une impressionnante maîtrise de son corps. Il a donné une sacrée pêche à toute la salle !





Magnetica c’était visuellement très impactant, avec un maquillage tout à fait cohérent avec sa signature de drag. Mais elle n’a quasiment pas lipsynché ce qui est un crime pour moi (je soupçonne que son maquillage avec des prothèses l’a gêné). ^^ Donc malgré un numéro plutôt efficace et dynamique, meh.





Lula Strega était la grosse déception parce que j’aimais beaucoup ce qu’elle faisait dans la saison. Et même si son costume était sublime, et son univers vraiment beau et inspirant, elle n’avait aucune énergie ou personnalité. Son show était lénifiant, presque neurasthénique, et elle avait l’air de se faire chier.

Norma Bell a proposé un très beau numéro solo sur la thématique du volcan, en inspiration directe de son île, La Réunion. C’était très cool et bien interprété, en plus d’être très original.



Ruby on the Nail c’est un peu notre chouchou, et elle a bien été au niveau. C’est une lipsyncheuse hors pair, et elle nous a enflammé tout le Zénith sur du Dalida, il fallait le faire !!! C’était génial et épique !





Et enfin, la grande gagnante de la saison 3 : Le Filip. Et comme attendu, ce n’était pas incroyable, mais tout à fait cohérent et à son image. Un truc un peu bâclé mais bourré de blagues, de maladresses et d’éclairs de génie ! ^^







Quand Pachamama prend le soleil dans ses bras, s’ouvre la Cité d’Or de Tseila !
Les Mystérieuses Cités d’Or ont véritablement forgé en moi une vraie fascination pour les civilisations précolombiennes, et si on ajoute le côté Indiana Jones des mécanismes en pierre et solaires de ouf, ou le côté geek antique de Tao et ses racines de l’Empire de Mu, ou encore Zia et la lecture des quipus, on a vraiment tout ce qu’il faut pour faire un dessin animé génialissime (qui n’a presque pas pris une ride).
Et ce moment là, alors qu’on a déjà eu un bateau dingue avec un panneau solaire qui active des centaines de rames, avec ce rai de soleil qui touche la déesse, et lorsque les médaillons sont posé sur sa poitrine, on voit alors les portes s’ouvrir !!! Ouuuuuuuuh, je me rappelle comme si c’était aujourd’hui à quel point on était totalement ému par tout ça. Et un épisode plus tard, c’est carrément au tour du Grand Condor de faire son envol.
Et tout ça, grâce au soleil, grâce à Inti, et grâce à Esteban : le fil du Soleil.
Je vous dis pas comment je vais être dingue le jour où je vais à Machu Picchu, ou Palenque, Chichén Itzá, Tulum ou Uxmal !!!
Dites-vous qu’il y a des fans qui ont même conjecturé l’emplacement des lieux (fictifs mais en effet inspirés par l’archéologie) cités dans le dessin animé, et tenté de reconstitué l’immense voyage des protagonistes. ^^





Je ne sais pas si c’est un truc qui vient avec l’âge, parce que j’ai à peu près toujours aimé marcher (depuis l’adolescence en tout cas), mais clairement c’est devenu un truc essentiel aujourd’hui. Que ce soit en Bretagne sur les chemins douaniers, ou dans la ville dans laquelle j’habite, ou bien celle où je suis de passage, marcher seul avec de la musique dans les oreilles est un plaisir autant qu’une sorte de méditation qui me fait un bien fou.
Il m’arrivait à Paris de sortir même la nuit, en pleine nuit, juste pour marcher et pour laisser mes pensées errer comme bien leur semblait. C’était souvent un soir où je n’avais pas envie de dormir, et Paris a toujours été un endroit génial pour sortir marcher à 3h du matin en semaine. On y découvre un monde de la nuit fantastique et apaisant, tout en croisant des tas de gens dans la rue vaquant à leurs occupations nyctalopes.
Je rentre aussi régulièrement à pied du boulot, juste pour prendre ce temps là, et pas à pas, progresser dans la ville, reconnaître les lieux, les rues, les immeubles. Regarder vers mes pieds, ou vers le ciel, et refaire cent fois le même chemin, tout en en découvrant de nouveaux angles ou des secrets cachés. Parfois je change complètement d’itinéraire, je cherche à me perdre, et si j’ai le temps, je pousse dans de nouvelles rues, de nouvelles images…
C’est marrant car j »ai récemment évoqué la manière dont au collège on « refaisait le monde entre misfits« . Le principe c’était de marcher, il fallait être en mouvement pour éviter d’être une cible de harcèlement bien sûr, on se cachait dans la foule, mais c’était aussi, je m’en rends compte parfaitement aujourd’hui, une vraie démarche socratique1. On marchait et on parlait, on réfléchissait, on échangeait, on se questionnait et on se répondait.
Des vrais petits péripatéticiens, littéralement, en germination, en marche.
Bon après il y a aussi les marches qui permettent de voir des trucs cool en vacances, mais ça c’est trop facile.
J’ai spotté le cast de Drag Race France Saison 3 à la gare Montparnasse ce soir. Ils ont pris le même tégévé que moi pour Nantes, où je les vois demain au Zénith. ^^
J’ai hâte !!!
Rhalàlàlàlà, le passeport mais c’est le voyage bien sûr ! Et les voyages ce sont les paysages et les panoramas pour moi. Alors il y en a des incroyables très près de moi, ne serait-ce que dans ma Bretagne chérie, mais ceux que j’ai découverts en utilisant mon passeport, ils m’ont parfois marqué à jamais de leur grandeur, leur beauté et leur singularité.
J’adore faire des panoramas qui rendent selon moi le plus possible la grandeur incroyable de certains points de vue, et qui enveloppent de par leurs proportions inhumaines, à taille de géants donc, et si impropres à la publication en ligne. Donc on en montre finalement peu, alors qu’ils sont dingues et témoignent de la beauté des choses qui nous entourent.
J’ai commencé par le Chili avec ce voyage (de noces) qui nous a procuré tant de jolis souvenirs, avec notamment ce paysage montagneux extraordinaire de Torres del Paine dans le sud, en Patagonie chilienne. On est là aussi proche du détroit de Magellan, et des pingouins, des confins verglacés même en plein été, et des glaciers dont on peut voir des blocs géants bleu pétant se détacher avec fracas, comme le Serrano.

Tout au nord, aux antipodes, nous avions été émerveillés par Atacama et la Valle de la Luna, où on peut voir de ses yeux ce genre de choses.

Mais aussi encore plus loin et plus haut, à plus de 5000 mètres d’altitude, les lacs andins perdus parmi les volcans et les guanacos. Comme ce laguna Miscanti et sa végétation éparse, écrasé par le soleil et l’altitude qui sied seul aux condors qu’on voit d’un bout à l’autre de la Cordillère.

Bon, et l’Île de Pâques évidemment, c’est largement resté dans ma mémoire comme un des plus beaux endroits sur terre. Tellement loin de tout, et nimbé de mystères avec ses moaïs extraordinaires et ses paysages volcaniques érodés. Et cet endroit fabuleux qu’on penserait créé de toute pièce tant il est empreint d’une étrange spiritualité : le volcan Rano Raraku d’où sont excavés tous les moaïs (on en découvre plus d’un milliers sur la petite île).

Face au volcan, l’Ahu Tongariki se déploie avec toutes ses statues immenses et imposantes, tournées vers l’intérieur de l’île. Je suis resté de longues minutes à les regarder (et zéro touriste, c’est assez ouf) à plusieurs reprises (mon chéri en avait un peu ras le bol de mes manières ^^ ).

Mes paysages préférés, et que j’ai eu la chance et un privilège fou de voir déjà plusieurs fois, sont dans le sud ouest des USA. Ce sont les fameux parcs nationaux qui font la réputation de l’endroit, mais il faut voir ça de ses propres yeux pour se rendre compte de leurs beautés. Et c’est sans doute le Grand Canyon qui m’a le plus épaté par sa taille incommensurable, impossible à embrasser entièrement du regard. Ses couleurs changent tout le temps, selon la météo, la saison ou l’endroit précis où on se trouve. C’est une merveille parmi les merveilles. Du coup, je vous en mets 3. Hu hu hu.



Et bien sûr, il y a Monument Valley de ses décors de Westerns. On peut penser que c’est surfait ou que c’est un truc à touristes (ça l’est), mais c’est d’une telle beauté époustouflante. Quand on pense qu’on peut photographier un truc pareil sans aucun talent !

Et je dois aussi vous monter un bout de Bryce Canyon avec ses hoodoos qui s’érodent en un paysage magnifique de rouges et d’orangés.

Arches est aussi un de nos parcs préférés, avec sa Delicate Arch dont la visite se mérite après quelques heures de marche. Elle apparaît toute petite de loin, mais c’est un géant de près !

Bon et puis je vous mets un bonus pour lequel il ne faut même de passeport pour y aller, je ne suis pas à une contradiction près. Hu hu hu. Car à la Réunion, j’ai vraiment vu des trucs incroyables !!! Et le cirque de Mafate depuis le Maïdo en fait indéniablement partie…

Encore un beau ciel ce soir ! On voit bien que les couleurs d’automne sont en train d’arriver doucement, les rayons du soleil n’ont vraiment plus la même incidence.
Idem pour cette photo de la sieste de l’après-midi, où la lumière est moins crue, plus chaleureuse et safranée.

Mon chéri a testé sur mon blog un service d’IA qui propose de créer ex nihilo un podcast à partir d’une série d’informations. Là c’est simplement en fournissant le lien du blog, et c’est ABSOLUMENT FLIPPANT !!! (Seulement en anglais pour le moment.)
Evidemment ce n’est pas parfait, et on est sur des éléments très banals, mais on doit tout de même être sur un truc qui tient à la route à 70/80%, et c’est complètement automatique, et tout nouveau. Donc d’ici quelques mois, ce sera absolument bluffant.
Cela m’a fait repenser à mes petites interventions bloguesques dans une émission de radio entre 2006 et 2008. Je parlais aussi quelques minutes de certains blogs, et on peut facilement se rendre compte que la forme n’est pas aussi bonne, même si le fond évidemment est beaucoup plus personnel et avec une certaine « saveur ».