Bouquet

Je n’ai jamais réussi à garder une plante vivante chez moi, je suis vraiment nul nul nul. Mais quelle n’est pas ma surprise de constater que pour la toute première fois de ma vie, j’ai une orchidée qui repousse !!!!

Cela faisait trois ans, presque exactement, que les fleurs étaient tombées, et je gardais ça sans espoir, me disant que ça fait au moins de jolies feuilles et tiges. Je mettais de l’eau quand j’y pensais, donc très rarement, mais miracle !!! Et on va bien avoir 6 fleurs, donc c’est vraiment une belle prouesse.

Eh bien, cela me met en joie. ^^

(Y’a une saison des orchidées, c’est la saison ? laule)

Flamme

Parmi les quatre éléments, c’est bien le feu qui est le plus mystérieux et fascinant selon moi, et depuis toujours. Parce que je me rappelle très bien que gamin, c’était plutôt intuitif de voir dans les trois autres, en effet, un assez bon résumé de la nature des choses qui nous entourent : l’eau, l’air, la terre. Mais le feu ? Comment ont-ils eu cette idée ? Et pourtant cela fonctionne merveilleusement bien en opposition à l’eau, et avec cette merveilleuse acception du Yin et du Yang dans nos existences.

J’adore cette conception des éléments qu’on retrouve vraiment dans la plupart des civilisations, et encore aujourd’hui dans une compréhension assez universelle de ce qui nous entoure. Mais le feu, et les flammes, ça reste un objet de fascination extraordinaire… Autant quand enfant on découvre les allumettes, et cette manière alchimique fabuleuse de faire naître une flamme puis de la voir consumer ce petit bout de bois, jusqu’à irrémédiablement nous cramer les doigts, qu’aujourd’hui lorsque je passe des heures à regarder le feu danser dans une cheminée.

D’ailleurs, c’est aussi un des trucs du chat de ma maman, Obi-Wan, dont elle dit que c’est son émission favorite. ^^

Je suis un mordu de super héros depuis tout minot. C’est venu, je pense, avec les comics, et ça ne m’a jamais quitté. Et clairement la maîtrise des éléments est un des trucs les plus fascinants qui soit. En cela, j’ai toujours eu un truc pour Tornade dans les X-Men ou même Johnny, qui lançait des éclairs avec ses mains, dans la série des années 80 Misfits of Science. Mais dans les années 2010 (j’avais pourtant passé l’âge, comme on dit ^^ ), j’ai eu un immense coup de cœur pour les séries Avatar, avec Aang puis Korra, que j’ai regardé 4 ou 5 fois en entier avec un plaisir à chaque fois renouvelé.

Nous sommes dans un monde où des « benders » maîtrisent des éléments, et un Avatar est capable de maîtriser les quatre éléments en même temps. L’image ci-dessous représente l’étendu des possibles dans les deux séries, avec quelques pouvoirs qui sont dérivés des éléments unitaires comme la possibilité de maîtriser le métal ou la lave ou encore les éclairs.

Je dois avouer que j’étais peu convaincu de cette proposition d’appartenance logique entre les éclairs et le feu (mon côté déjà nerd en sciences physiques peut-être)… Alors que justement quand gamin je pensais à ces éléments et j’essayais de rationnaliser cette approche dans l’élaboration de ma propre cosmogonie (oui je faisais ça à 15 ans), je trouvais que l’électricité était peut-être un des éléments manquant (on ne va pas le reprocher aux grecs, ils faisaient sans).

C’est à la faveur d’une opportune sérendipité que j’ai regardé Naruto sur Netflix quelques années plus tard, et là j’ai été totalement conquis par cet univers. J’ai rattrapé mon retard puisque j’ai commencé (en 2016) alors que la série allait se terminer (en 2017), mais j’ai depuis vu les 720 épisodes trois fois. Et je poursuis actuellement avec Boruto. ^^

Avec Naruto, c’est beaucoup plus complexe, mais aussi un déluge d’imagination et avec toujours une inventivité particulièrement opiniâtre, docte et sagace, et aussi une logique interne indéboulonnable. Par exemple voilà les éléments, et vous noterez qu’ils sont liés par ce cycle de « faiblesses » les uns par rapport aux autres. Les pouvoirs viennent de l’usage des chakras qui viennent en autant de natures ou d’affinités avec des éléments.

  • Le Katon (火遁, Katon) est fort contre le Vent mais faible contre l’Eau.
  • Le Fûton (風遁, Fūton) est fort contre la Foudre mais faible contre le Feu.
  • Le Raiton (雷遁, Raiton) est fort contre la Terre mais faible contre le Vent.
  • Le Doton (土遁, Doton) est fort contre l’Eau mais faible contre la Foudre.
  • Le Suiton (水遁, Suiton) est fort contre le Feu mais faible contre la Terre.
Nature de Chakra

Et le génie du truc c’est lorsqu’on les combine !!

Si on mêle deux natures de chakra c’est un Kekkei Genkai, ou bien trois natures un Kekkei Tôta. Quelques exemples de ces pratiques :

Le Hyôton (氷遁, Hyōton), l’art de manipuler la glace, est le résultat de la fusion des natures Suiton et Fûton.
Le Mokuton (木遁, Mokuton), l’art de manipuler le bois, est le résultat de la fusion des natures Suiton et Doton.
Le Yôton (熔遁; 溶遁, Yôton), l’art de manipuler la lave, résulte de la fusion des natures Katon et Doton.
Jinton (塵遁, Jinton), l’art de manipuler la poussière, résulte directement de la fusion des natures Katon, Doton et Fûton.

Nature de Chakra

Inutile de dire que Naruto a été un petit bonheur de découverte pour le geek que vous connaissez un peu. ^^

Car dans mes réflexions de cosmogonie adolescentes, j’avais en réalité deux choses qui me paraissaient manquer au classique bestiaire à 4 éléments. D’abord je l’ai dit l’électricité1, qui permet d’aller jusqu’à l’éclair donc, mais aussi de parler de magnétisme (une notion étonnamment absente des animés précédents), et également pour moi de traduire la vie. Car un organisme vivant selon moi est vraiment associé à une activité cellulaire et métabolique, et donc électrique. Et quand dans Naruto le Mokuton permet de maîtriser le bois et les plantes (de faire pousser des trucs en fait) et est un mix d’Eau et de Terre, bah j’aurais dit qu’il fallait aussi de l’Electricité (donc un peu de Raiton en plus).

Hier soir, j’ai beaucoup ri en regardant Cunk on Life qui est une sorte de faux documentaire hilarant, dans lequel une humoriste pose des questions farfelues (mais presque insultantes parfois avec le ton de « Connasse« ) à de vrais scientifiques avec un ton et un formalisme (notamment esthétique) proche des reportages et documentaires de David Attenborough. Elle est à un moment avec un scientifique et vulgarisateur que j’adore, Brian Cox, et il s’énerve après elle en lui affirmant qu’absolument tout est fait d’atome, TOUT !! Et elle demande : même les pensées ? Et il répond avec le désespoir dans son regard : Non en effet, pas les pensées.

Eh bien en plus de l’électricité, j’avais aussi en tête qu’un des éléments qui avait peut-être été omis c’était la connaissance ou le savoir, ou les pensées. Et donc ça m’a fait super plaisir d’avoir cette réponse hier !!! Hu hu hu. Surtout que cela je peux facilement le dater au tout début des années 90. En effet, les écrits ont toujours eu un importance majeure pour moi2. C’est dans la même veine que ma fascination pour les origines de l’écriture, ou le déchiffrement des écritures d’antan. J’avais des cahiers avec plein d’acronymes ou de signes cabalistiques qui ne faisaient sens que pour moi, et beaucoup qui étaient juste n’importe quoi pour noyer le poisson. On peut ainsi encore déchiffrer des HPI, TMI, AEDE ou des GOOMM dont je pourrais encore vous révéler aujourd’hui la signification (mouahahahah) et des FATES qui signifient : Feu, Air, Terre, Eau, Savoir (les « destins » profonds donc huhuhu). ^^ Oh mais ce drama queen de 15 ans, folle comme ses pieds, et nerd de chez nerd vous le voyez hein ??? Huhuhu.

Bon après j’imagine bien qu’à l’époque antique, l’électricité de résumait à Zeus qui jouait avec son bâton de foudre à l’aide de ses tontons Argès, Brontès, et Stéropès, et pour la pensée c’était sans doute une notion liée à l’âme et aussi au divin, donc différent de la matière qu’on essayait alors de caser simplement. OK OK OK !!!!

Piouuuu, tout ça à partir du mot flamme hein, chuis en forme moi aujourd’hui. ^^

  1. Mais qui est arrivée quand j’ai eu mes cours sur la mitochondrie donc plus tard, au lycée, et donc j’étais plus trop adolescent, c’était la fin quoi. ↩︎
  2. Faute d’avoir des amis, mais au moins je ne broyais pas du noir, je noircissais des cahiers. ↩︎

Coquille (Scallop) ou Pectinidae

Oh là, mais ce n’était pas du tout facile à traduire ce truc. Pour moi, c’est bêtement une coquille St Jacques1. Mais non, c’est un terme global qui serait plutôt pour nous la super-famille des pectinidés, soit grosso modo les St Jacques et les pétoncles.

Scallop me fait toujours sourire sur les menus, car j’ai l’impression de lire « salope » très mal orthographié ou dans une forme d’ancien français aux accents rabelaisiens si croquignolet parfois !! Mais qu’est-ce que je peux bien vous dire à ce sujet… Je cherche hein !!!?

Tiens, c’est fou mais pour moi évidemment c’est lié au pèlerinage de St Jacques de Compostelle et les chemins du même nom. Mais en cherchant un peu, apparemment on n’est pas certain du tout de l’histoire de ce truc avant le Moyen-Âge. Il n’est pas du tout dit que le petit Jacques de Zébédée (ce nom…) avait vraiment eu des accointances particulières avec ces dignes et succulentes pectinidés. Tout ça n’est peut-être qu’une invention beaucoup plus récente (mais tout de même moyenâgeuse) et parfaitement marketing pour promouvoir ce tourisme religieux. ^^

(J’aurais pu sauter ce mot au vu de l’indigence de cet article, mais vous me connaissez je suis trop toqué pour ça. Il faut respecter le processus !!!! ^^ )

  1. Par pure habitude de le lire dans les menus de restaurants anglosaxons. ↩︎

Chauve-souris

On aurait pu croire que j’allais tout bêtement et candidement parler de chiroptères, comme ces petites pipistrelles adorables qui venaient nicher derrière mes volets quand j’étais minot. Elles étaient toutes mignonnes, et je leur donnais des bouts de pêches ou de brugnons l’été1. Cela m’a rendu les chauve-souris très sympathiques, malgré leur sombre réputation.

Mais non, le premier truc qui m’est venu, c’est cette bien nommée chanson du groupe Vive la Fête.

Chauve-souris (Vive la Fête)

Ah là là, que de souvenirs, d’images et de sensations de cette période !! Encore un truc qui date en gros d’il y a vingt ans, et qui était ma bande son de ces années. Merci la Belgique !!!

Et avec Vive la Fête c’est évidemment, Raphaël qui nous avait fait connaître le groupe via des potes à lui. C’était un collègue de boulot qui était très cool, et avec qui je m’entendais très bien. J’ai d’ailleurs très très couramment parlé de lui dans le blog, et il connaissait bien mes activités sur le net. C’était un gars très parisien, parfaitement gay-friendly et super à l’aise dans ses baskets.

Son acolyte du bureau c’était Benoît, et les deux se battaient tout le temps. C’était leur truc, un vrai truc bien mascu, mais c’était plus fort qu’eux. Et c’était marrant car ils étaient vraiment potes et comme cul et chemise, mais tout en étant très différents. C’était deux échalas, mais Raphaël était blond et extraverti autant que Benoît était brun et introverti. Raph était un vrai bourreau des cœurs qui déployait stratagèmes et techniques de drague hors pair, tout en étant pas une gravure de mode mais jouant à fond sur son charme et son bagout, tandis que Ben était d’une beauté si frappante que les meufs tombaient en pamoison juste à voir ses petits yeux bleus humides ourlés de grands cils noirs. Mais ce dernier était un grand timide, il n’abusait en rien de ses capacités innées, et je pense, n’en a jamais eu bien conscience.

Comme je l’ai souvent témoigné ici, j’ai narré quelques-unes de ces anecdotes de boulot, assez inutiles je le reconnais, de ces années. Mais j’ai aussi depuis beaucoup plus longtemps que le commun des mortels gardé des photos et des vidéos de plein de trucs tout aussi inutiles. Il y a vingt ans, les appareils photos argentiques étaient encore légion, et les appareils photos numériques très onéreux. Mais comme j’en ai parlé récemment, j’ai eu pas mal de ces webcams portatives bon marché qui proposaient une qualité exécrable mais avaient le mérite de capturer certains moments.

C’est comme cela que je me retrouve avec des disques durs qui ont miraculeusement survécu, et ces vidéos comme autant de daguerréotypes animés d’une époque… Et autant vous dire, des vidéos de 30 secondes en 176px de large, ça ne fait pas des miracles sur nos écrans d’aujourd’hui. Huhuhu.

Mais je trouve ça génial, car j’ai notamment gardé ces quelques séquences où les deux zigotos se mettaient à faire des démonstrations de kung-fu, en réalité chorégraphie hésitante de paons testostéronés qui faisaient la roue, en plein open-space. Et à l’époque, pas de smartphone, donc on ne me remarquait pas toujours avec mon mini-appareil qui ne ressemblait à rien, et dont on ne se doutait pas qu’il pouvait enregistrer des vidéos.

Vidéo de 2003

Ci-dessous, un autre souvenir qui me fait sourire, et où on peut voir qu’un ou deux ans plus tard, j’étais passé à un autre modèle et à 352px de large… C’est drôle aussi de s’entendre, et de revoir ces adorables types avec qui j’ai bossé pendant des années.

Vidéo de 2005

C’est la vie d’une chauve-souris à minuit, c’est la vie d’une chauve-souris à minuit !

  1. A priori pourtant elles sont insectivores, mais je me rappelle qu’elles acceptaient nos offrandes sans difficultés. ↩︎

Se précipiter (Scurry)

S’il y a bien une caractéristique flippante dans nos vies, en tout cas dans la mienne, c’est bien cela : l’accélération. J’ai l’impression que depuis que je suis en âge de comprendre les choses, tout va toujours plus vite. Tous les processus qui m’entourent sont plus véloces, et dépassent depuis longtemps le simple entendement d’un être humain.

L’informatisation a rendu cela exponentiel évidemment. Et l’internétisation a rendu le phénomène omniprésent et omnipotent, en apparence, pour mieux nous donner l’illusion prométhéenne d’être des démiurges, quand nous ne sommes que des créatures de plus en plus sisyphéennes. Nous en sommes à un point un peu fou je trouve, mais chaque jour étant plus fou que le précédent, je n’ose pas m’en émouvoir aujourd’hui. Et comme, on peut lire des témoignages d’il y a 80 ans qui en parlaient déjà1, je ne sais pas à quel point je me leurre à ce sujet.

Mais force est de constater que l’information est tendue comme un slip 24/24, et comme on ne nourrit pas assez la bête, on a droit à des gens qui triturent tout dans tous les sens, épuisant la raison qui se veut réfléchie et posée, et interrogeant sans cesse la passion qui arrive parfaitement bien à sortir des énormités et à en disserter pendant des heures. On demande au boulot des choses pour hier, tout le monde est connecté toute la journée dans des vidéoconférences déshumanisantes, tout s’enchaîne dans un maelstrom d’objectifs qui ne riment plus à rien, tandis que le monde court à sa perte.

Et ce n’est pas que négatif quand on peut comme je le fais communiquer toutes ces merveilles de mots à la con en temps réel dans le monde entier, juste parce que j’en ai envie. Ou encore avoir un presque don d’ubiquité et, pour presque rien2, faire une visio avec un être cher à l’autre bout de la Terre (ou juste une photo par Whatsapp à môman c’est cool aussi). Très positif sauf quand ça a un poids écologique qui contribue à la fin du système même qui le nourrit.

L’avantage c’est qu’on se précipite aussi vers cette fin du monde non ? ^^

  1. Stefan Zweig, notamment, dans son œuvre Le Monde d’hier (1942). ↩︎
  2. La fameuse apparence de la gratuité. ↩︎

Gargouille

J’aime vraiment beaucoup les gargouilles, elles me fascinent et me font flipper depuis que je suis tout minot. Et quand j’ai pensé à ce mot, il m’est venu ce film de série B de 1991, accrochez-vous : Darkside, les contes de la nuit noire. Ce n’est pas du tout un chef d’œuvre, bien au contraire, mais j’ai dû voir ça avec mes parents en VHS quelques années plus tard. Il y a plusieurs histoires racontées dans le film, un peu comme « les contes de la crypte » avec un enchaînement de courts-métrages. L’un d’eux évoque un artiste maudit qui est fasciné par une gargouille d’un immeuble new-yorkais.

Et un jour, il y a cette fille superbe qui débarque, et on comprend en filigrane que c’est en réalité la gargouille. Elle lui apporte un grand succès, et ils ont même des enfants. Et je ne me rappelle plus pourquoi, mais il devait y avoir un truc interdit à la Barbe-Bleue, et l’artiste trahit d’une manière ou d’une autre la confiance de Gargouillette. La fille se transforme alors, à l’aide d’effets spéciaux de qualité1, en une impressionnante gargouille et ses enfants aussi (en mini-gargouilles quoi). Et elle tue le mec avant de se barrer sur le toit de l’immeuble, et de redevenir une statue avec ses gamins.

Les effets sont dégueulasses, et la tronche des gargouilles est risible aujourd’hui, mais à l’époque c’était tout de même ce qui se faisait de mieux. Et vraiment j’avais été captivé par cette histoire, et j’adorais la comédienne, Rae Dawn Chong, qui est très connue pour être l’héroïne (peu reconnaissable) de la Guerre du feu.

Je pense d’ailleurs que mon amour des gargouilles est aussi une des raisons qui me fait collectionner les cathédrales gothiques d’ici et d’ailleurs. La plus dingue à ce sujet n’est d’ailleurs pas une cathédrale mais elle mérite vraiment le détour si vous passez à Dijon. Il s’agit de Notre Dame de Dijon qui est une sublime église gothique du 13ème siècle dont la façade occidentale est absolument remarquable. Elle est à quelques encablures du Palais des Ducs, et on était tombé dessus par hasard mais j’avais tout de suite été voir ça de plus près.

On est tout de suite pris par cette façade monumentale mais d’une extraordinaire singularité, vraiment ça ne ressemble à rien de connu. Vous avez déjà trois porches monumentaux, mais sur une façade totalement plane, et au-dessus deux étages de galeries avec des colonnades très étranges. On croirait presque un palais vénitien ou une habitation renaissance, et surtout on a une kyrielle de gargouilles qui ne sont pas des gouttières pétrifiées mais bien juste des sculptures qui scandent toute cette surface.

Et vu d’en dessous c’est encore plus fou car on voit toutes les bestioles qui ont l’air de vous tomber dessus avec leurs airs patibulaires (mais presque).

C’est le paradis des gargouilles !!! ^^

  1. Allusion à une des nombreuses scènes cultes de la série culte québécoise « Le cœur a ses raisons« . ↩︎

Inktober with a keyboard (Iwak) – rattrapage 2022

Vraiment ça m’a beaucoup plu d’écrire encore pendant 31 jours tous les jours avec des thèmes imposés. Alors comme j’ai fait 2020, 2021 mais pas 2022, bah je rattrape. On est en novembre 2023 ? Ah bah ouai, j’m’en fous. Et en plus, je ne vais même pas me contraindre à écrire tous les jours. Et ça s’appellera toujours « Inktober ». Ranafout’ !! ^^

Voilà les thèmes de 2022 en anglais.

Et la traduction proposée en français, que je vais suivre quand je n’aurais pas décidé de prendre l’anglais, ou une acception un peu différente. (laule)